Citation :
Puis la tronche que les croyants feront quand ils verront que leur trip fonctionne pas, ça vaut probablement toutes les extinctions du monde.
Pas comprise celle là. Soit tu parles du fait que l'humanité disparaisse, et ça c'est prévu dans les religions. Soit tu parles de l'après mort, et si y a rien, difficile de tirer une quelconque tronche.
Cette blague est donc recalée.
Birdish, l'évolution n'est pas un fait, c'est une théorie. Donc sur ce point tu ne peux que spéculer sur de la spéculation. Après si tu parles d'évolution spirituelle/intellectuelle, la oui c'est propre à l'individu pas au groupe, et c'est fluctuant, y a autant de régression voir plus, mais ça se partage, en général l'homme n'aime pas évoluer seul. Pour la technique c'est motivé par la société, donc c'est mort pour le coté solo.
Appeler un singe un proto humain, c'est purement "idéologique". Sinon le porc est aussi un proto humain avec ses 99%% de gène identique aux notre, et la compatibilité des transplantation d'organes. La différence ici c'est de juger d'après un tas d'os la ressemblance déduite de cette observation entre ce singe disparu et nous. D'ailleurs qu'elle est la pertinence biologique entre la ressemblance visuel et la ressemblance génétique? (d'ou mon allusion au porc). Mon avis c'est que les scientifiques ne savent pas grand chose, et on leur met la pression car quand tu es chercheur, il faut que tes recherches aboutissent, sinon on considère qu'on t'aura financer pour rien.
Après pour l'humanité, une chose que je m'efforce de respecter, c'est que l'humanité est divisé, et que le soit disant spécisme que dénonce différent "misanthrope" est une affabulation. Y a une très grande partie d'humain qui ont de meilleur rapport avec certains animaux que d'autres humains (les bergers, les bédouins, les mongoles, les inuits, etc). Il y a certains humain prêt à en tuer d'autre, et pourtant il ne ferait pas de mal à des animaux. Et enfin il y a des humains qui massacrent les animaux, et respecte les humains. (et y a ceux qui massacre tout).
Le problème de l'humanité c'est la liberté d'une minorité qui se croit toute puissante, qui veut soumettre tout le monde, et faire leur loi. Pour y arriver cette minorité qui eux sont prêt à tout massacrer pour leur fin, sème la discorde au sein des peuples, les empoisonnes (l'esprit comme le corps), les manipules, etc.
Je me sens personnellement plus proche, plus empathique avec une abeille qu'avec une de ces pourritures qui constitue cette minorité livide.
La différence avec les gens victimes d'un contexte que parfois ils n'arrivent pas à sentir, c'est qu'on doit admettre la faiblesse et le droit d'erreur des humains. Si ces derniers reconnaissent ça, alors on voit bien que leurs intentions ne sont pas les mêmes, qu'ils étaient juste perdu dans une société confuse, qui fausse les reperds. Par contre ceux qui sucent les boules de leur maître en toute connaissance de cause, et qui continuent après qu'on les mette au pied du mur; si leur destin est le même que celui d'une poule élevé en batterie, j'en aurais rien à foutre, limite "bien fait pour leur gueule".
Bref, il y a beaucoup trop de données, et de nuances pour catégoriser l'humanité comme un bloc d'être avec des aptitudes et des attitudes fixes. Si on veut continuer dans la spéculation, ça se trouve une poignée d'humain à déjà évolué et c'est barrer dans l'espace (théorie de pas mal d'archéologue au romantisme niais sur les pyramides, ou les atlantes, etc).